Comment j’ai connu le groupe
D’abord GG ancien d’Isis (le 33 tour de Rock à Sens il y a déjà plus de 20 ans) que j’ai connu sur mon lieu de travail. Discussion musique et voilà, c’était parti.
Après son départ de la société, on se revoyait de temps en temps et toujours discussion musique et basse.
Puis un beau jour, ca y est, il avait rencontré le groupe avec lequel il revivait ses plaisirs de jeunesse, et « tu viens nous voir », annoncé un peu tard, j’ai donc loupé le concert au Barbarian’s avec GG et les Springles.
Le temps a passé, ma mailing d’annonce de concert puis à nouveau le silence.
Des rencontres impromptus, « quand viens tu nous voir ? »,
Le plus difficile, arriver à trouver une date de concert ou je pouvais être présent.
Puis reprise de ma mailing sous forme de blog et là « Springles au Barbarians le 21/03/2009 ».
Enfin une occasion de les voir en concert.
Que de regrets de ne les avoir pas vus avant ?
Une arrivée discrète qui ne l’est pas restée longtemps. Repéré par GG, j’ai donc rencontré et sympathisé tout de suite avec le groupe.
Enfin le concert et là, les années d’expérience et leur plaisir de jouer se sont tout de suite révélés.
(Antisocial) etc…
Le « Papi » Jeanlouiss à la batterie (Papi, on se suit de près) très calme, caché derrière les gratteurs mais sachant au bon moment apporter sa puissance.
Le GG à la basse, tout de blanc vêtu "l'ange de la basse", seul mec capable de casser une corde de basse pendant un concert, vivant sa musique.
Bast, guitarise, soliste, harmoniciste et choriste heureux comme un paon dés qu’il peux se lâcher dans des rifs d’enfer. (à première vue, plus c’est dur et plus il prend plaisir)
J’ai pris des photos mais je serais bien resté debout à rythmer avec le pied sans penser au blog.
Par rapport à tous mes comptes rendus de concerts qui m’amènent à défendre tous les petits groupes de la région malgré leurs défauts, celui-ci n’entre pas dans la même catégorie. On a eu, en face de nous, ce soir là, des pros, qui savaient gagner à la cause de la musique tout les gens présents.
Prochain compte-rendu « Musica Nuda » au Théatre de Sens
